Sur la torsion viscoplastique par choc en régime adiabatique
Compl. Titre  (recherche de lois de comportements des métaux usuels applicables à la coupe)
Auteurs   Wafa, Megahed Aboul (Auteur)
Pomey, J. (Direction)
Collation   1 vol. (III-80 p.)
Illustration   Ill.
Format   30 cm
Langue d'édition   français
Sujets   Métaux -- coupe -- thèses et écrits académiques
Viscoplasticité -- torsion (mécanique) -- thèses et écrits académiques
Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Bibliotheque 1026260000016 TH 15Adulte / RéserveInterdit de Sortie
Résumé : Le présent travail concerne l'étude des torsions viscoplastiques d'un tube mince au choc en régime non isotherme. Dans la première partie, une bibliographie sommaire permet de situer notre recherche et de montrer qu'il est nécessaire de procéder à l'essai de torsion à très grande vitesse de déformation et à très grand cisaillement si l'on veut appliquer les résultats à la coupe des métaux elle-même. Les raisons du choix du type de la machine sont invoquées. Ensuite nous décrivons la machine d'essai de torsion que nous avons entièrement conçue et réalisée. Dans la quatrième partie une étude théorique est consacrée à la plasticité adiabatique donc l'histoire de la température joue un rôle prédominant. Nous tentons de montrer comment, à l'aide de la loi de comportement Norton-Hoff-Lemaître, nous pouvons interpréter divers paramètres viscoplastiques tels que le cisaillement critique, le facteur de sensibilité de la contrainte vis à vis du taux de déformation, les conditions de l'instabilité adiabatique etc... autant de facteurs importants, pensons-nous, pouvant être utilisés directement par les techniciens de l'usinage. Dans la cinquième partie nous présentons les résultats expérimentaux obtenus sur deux métaux usuels à savoir l'alliage d'aluminium AU4G et le cuivre électrolytique. L'interprétation de ces données expérimentales aboutit à l'obtention des coefficients viscoplastiques qui dépendent, entre autres facteurs, de la vitesse de déformation, du cisaillement er de la température. Enfin des examens micrographiques par microscope à balayage nous permettent d'entrevoir une méthode intéressante d'étude des grandes déformations et une possibilité de raccorder ces structures lamellaires aux théories des dislocations.
Notes : Bibliogr. p. 74-80
Thèse : Physique : Université Paris VI : 1974 (version d'origine)